Interview de Sarah Haddad (WITEL) : Pourquoi nous continuons à recruter des alternants d’IMIE Paris depuis 3 ans
Depuis trois ans, WITEL collabore avec l’IMIE Paris pour recruter des alternants. Sarah Haddad, de WITEL, nous fait part de son retour d’expérience sur ce partenariat.
Le besoin en alternants chez WITEL
Un besoin constant ou évolutif ?
IMIE Paris : Bonjour Sarah et merci de nous accorder cette interview. Cela fait 3 ans que notre partenariat existe et que vous recrutez nos alternants. Avez-vous toujours le même besoin ou cela a-t-il évolué ?
Sarah Haddad – Witel : Le type de poste n’a pas changé. Ce que je recherche essentiellement, ce sont des personnes pour épauler les salariés que j’ai dans l’entreprise au support technique. Ils sont là pour prendre les appels clients entrants, mais ils ne sont pas en première ligne. Après que l’appel ait été qualifié et que l’on soit certain qu’il s’agit d’un problème technique, ils interviennent pour répondre à nos clients, les aider au quotidien et les dépanner en cas de panne. J’ai déjà une équipe de 3 techniciens à l’année, et l’idée est de prendre 2 techniciens en alternance pour les tâches plus simples et adaptées.
Pourquoi privilégier des contrats d’un an ?
IMIE Paris : À chaque occasion, vous avez préféré des alternants pour une durée d’un an. Pourriez vous m’expliquer ce qui vous a conduit à choisir cette durée ?
Sarah Haddad – Witel : Cela correspond bien à nos besoins. Cependant, je suis favorable à les prendre sur une durée plus longue. Dans d’autres branches, j’ai pris des alternants sur 2 ans, souvent orientés vers la cybersécurité. Mais comme je n’ai pas ces tâches à leur proposer en entreprise, ils font un an dans les réseaux télécoms avant de se réorienter vers le domaine qu’ils souhaitent.
Retour sur les expériences passées
Comment s’est passée l’intégration des alternants ?
IMIE Paris : Comment se sont passées les expériences avec les différents alternants au cours des trois dernières années ? Cette année, vous en avez accueilli deux. Comment cela s’est-il déroulé ?
Sarah Haddad – Witel : Oui, cette année j’en ai eu 2, et l’année précédente, un seul. Cela s’est très bien passé. J’ai eu des étudiants très sérieux, ponctuels, motivés et respectueux. Ils ont confirmé le bon comportement qu’ils avaient eu lors de l’entretien.
Le job dating comme solution efficace.
IMIE Paris : En ce qui concerne les 2 derniers alternants, vous les aviez rencontrés lors d’un job dating comme aujourd’hui. Était ce plus simple pour vous ?
Sarah Haddad – Witel : Tout à fait. Le format du job dating est plus simple car il permet de rencontrer beaucoup de candidats en même temps et de les voir dans un contexte peut-être moins stressant qu’un entretien en entreprise.
Identification facile des bons candidats.
IMIE Paris : L’année dernière, vous m’aviez confié avoir immédiatement identifié les 2 candidats qui correspondaient à vos attentes, n’est-ce pas ?
Sarah Haddad – Witel : Oui, je n’ai pas eu besoin de chercher davantage.
Le partenariat avec IMIE Paris
Pourquoi continuer avec IMIE Paris ?
IMIE Paris : Si nous parlons plus globalement de notre partenariat, qu’est-ce qui vous incite à revenir vers nous pour recruter de nouveaux étudiants ? Qu’avez-vous apprécié ces dernières années chez nos alternants, ainsi que dans notre relation et notre suivi ?
Sarah Haddad – Witel : Je reviens parce que j’ai besoin d’alternants. Et pourquoi IMIE Paris ? Parce que géographiquement, vous êtes proches, ce qui ne perturbe pas trop les étudiants, et j’ai eu de bons profils avec vous jusqu’à présent.
Le rythme de l’alternance : une formule adaptée.
IMIE Paris : Le rythme proposé par IMIE Paris, semaines en entreprise, une semaine à l’école, à savoir vous convient-il ?
Sarah Haddad – Witel : Oui, ce rythme me convient. J’aurais pu envisager d’autres rythmes, mais celui-ci correspond bien aux tâches que nous avons à leur confier. Nous arrivons à gérer.
Le mot de la fin !
IMIE Paris : Un petit mot pour les personnes qui vont lire cette interview sur les réseaux sociaux ?
Sarah Haddad – Witel : N’hésitez pas à prendre des alternants. La jeunesse veut travailler, elle est dynamique et motivée. Il ne faut pas avoir peur de les aider et de les former.
IMIE Paris : Parfait, merci beaucoup.
Sarah Haddad – Witel : De rien.